Notes de direct pour l'émission « Supplément Week-End » du Samedi 24 Novembre 2007.

Aurélia Aurita, jeune dessinatrice tombe éperdument amoureuse de Frédéric Boilet, dessinateur Français exilé au Japon, où il a fondé la nouvelle manga, entre autres en racontant ses histoires d'amour.
Une histoire d'amour intense et passionnée qu'elle raconte dans « Fraise et chocolat » sans fards, en toute sincérité et sans cache-sexe, ce qui en fait une autobiographie érotique, passionnante, et vraiment tendre. Mais combien de temps va durer son amour d'une génération de différence ?
Ce deuxième tome débute par un voyage de dédicaces avec Kan Takahama, pour l'édition francophone de « Kinderbook » (sorti en janvier 2005 chez Casterman), mais surtout ancien amante de Frédéric Boilet. Le courant passe immédiatement entre les deux filles, qui se font confidences sur confidences pendant la petite tournée Européenne.

Seulement, Aurélia a des doutes... Frédéric est connu pour avoir eu plusieurs aventures amoureuses, parfois en même temps. Qu'en sera-t-il pour elle ? Elle qui a tout plaqué en France pour vivre avec lui au Japon, une société qu'elle ne la connaît pas et qui n'est pas spécialement ouverte aux étrangers.

C'est mignon tout plein, polisson, frais et surtout... on est heureux pour tous les deux. Le trait jeté, un peu manga de presse (comme « Nos voisins les Yamada », pour vous donner une très vague idée) lui donne une immense spontanéité, et fait encore mieux passer l'angle très déshabillé de sa bio. Une œuvre où elle raconte tout. Tout et même ses déceptions et...

Bon, une petite mise au point. Amis audispectateurs, vous vous souvenez que nous avions reçus Frédéric Boilet et Aurélia Aurita sur ce plateau en direct le 8 avril 2006. Aurélia Aurita venait justement de faire publier le premier tome de son autobiographie. Et Thomas, n'a pas pu s'empêcher de .. comment dire ...

[ici est diffusé un extrait de l'enregistrement du SWE #65 de 10'10" à 11'20"]

C'est dans le bouquin, page 59.
Je n'en suis pas fier.
Alors Thomas a tenté de me rassurer pendant les réunions préparatoires de cette émission « Mais non, c'est pas forcément toi, t'étais sûrement pas le seul à Angoulême à avoir fait la remarque... »
Eh ben non. L'enregistreur fait foi.
Et vous pouvez bien évidemment ré-écouter l'intégrale de cette émission sur notre site web et connaître donc les raisons du fameux « Aurita Incident » à Angoulême.

Thomas, sale vendu, t'as intérêt à me faire une chronique ciné béton, parce que sinon, je vais m'occuper de ton cas pendant la partie de Dusport.