Notes de direct pour l'émission « Supplément Week-End » du Samedi 17 Septembre 2005.
Dans le premier tome, Kaël perdait la mémoire au fur et à mesure qu'il lisait un livre qui semblait raconter sa vie dans une langue inconnue. Une histoire onirique qui avait séduit par son dessin mais dont la happy-end avait un peu gêné par sa simplicité les critiques.
Bon, alors ça commence dès la première image à 300 mètres de nos studios, Gare SNCF de Matabiau. Jusque là, nous (Toulousaings), nous ne sommes pas perdus, mais hasard des trains de nuit, Kaël va rencontrer un Kensington qui connaissait sa grand-mère, et qui a la clé d'une demeure familiale, dans le village de Perdide. On y trouve un tigre blanc, un dieu nordique et un sablier qui arrête le temps... Encore une fois, la poésie va emporter l'histoire dans des terrains difficilement croyable pour notre plus grand bonheur. Des souvenirs d'enfance qui vous font revenir de deux décades en arrière à l'âge de dix ans, et à des rêves tellement fous qu'ils semblent inaccessibles à l'adulte.
Une porte vers les rêves d'enfants. Cette série est une évasion pour l'esprit.