Comme Tristan bloque les commentaires dans son blog, on peut pleurer ici. L'article : « Changement d'herbage réjouit les veaux », avec un joli et triste clin d'œil à Cestac, dont la bd va être adaptée au cinéma.

Les prémices : 1 et 2

Quand mon père s'est marié, au moment de la phrase fatidique du curé (« si quelqu'un a quelque chose à dire, c'est maintenant, ou qu'il la ferme à jamais »), ses copains de la fanfare des Beaux-Arts sont rentrés dans la peite église en chantant « Si tu veux pas faire une connerie, te marie pas, te marie pas... ». J'ai bien fait de me retenir.