Ceci est une lettre ouverte au seul journaliste qui arrive à me faire rire dans ce domaine particulièrement sans humour.

À : Marc Olanié

Très cher Marc.

Comme tous les Jeudi, je me tiens par ta prose informé des derniers détails d'un jeu qui ne fait plus rire passé la Maternelle : Le Gendarme et le Voleur, sans De Funès ni Gérard Oury mais sur nos ordinateurs. Toi seul arrive à y remettre un humour primessautier digne des classiques René Chateau Vidéo. Et du coup de mieux nous rendre humble face à nos bêtises inexcusables. (Ai-je patché Awstats ? Ah non...)

Et pourtant, en ce midi , je suis déçu par ta dernière livraison sur CSO. Tu t'y montres plus informatif que déconneur. C'est ton droit, et la demande de tes clients, mais quand même ! Parler des trous de sécu à répet dans les banques et ne pas titrer « Touche pas au grisbi, salope ! » ni même conclure « Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre, tout le monde écoute. » c'est quand même dommage :p ça remettrait du sérieux dans les banques Françaises avec leurs communiqués effarrants de bétise dont ils ont abreuvé un Grand Public pour mieux toucher les aggios.

Il se trouve que je suis en pleine panne d'inspiration (momentanée, exactement 3 minutes 27 secondes). Et contre ça, j'ai une source inépuisable : Wikiquote

et j'en passe.

J'ai aussi « les mots en épingle » collectés par la femme de Frédéric Dard. ça trône dans mes toilettes, à côté du trou noir. Si tu me trouves mon clavier (touch stream lp de feu-FingerWorks, en dvorak), je crois que tu y auras droit.

Je dois même avoir dans mes archives une cassette audio, la dernière interview de Franquin pour la RTBF.

Qu'est-ce qu'il faut pas faire pour te motiver à nous fournir des informations sérieuses.