Notes de direct pour l'émission « Supplément Week-End » du Samedi 9 Juillet 2011.
Gipar est journaliste dans un journal de faits-divers, un habitué des procès contant de sinistres affaires. Il prend la Nationale 6 pour aller couvrir à Dijon le procès d'Henri Polinet, tout juste repris de sa cavale. Mais alors qu'il allait arriver à destination, il apprend que Polinet s'est fait la belle ! Décidant de faire étape à Saulieu pour compléter son papier, il ouï-dire que le malfrat avait monté une bande de détrousseur de grands chemins, les Capucins. Et qu'avec le retour de leur meneur, cette bande a repris son activité : Les attaques de diligence, oui, oui, en plein dans les années 1950s...
Oui, mais quelque chose étonne le journaliste : à peine revenue aux affaires, les détroussages ciblent excessivement bien leurs cibles. Un peu trop. Très vite, des soupçons se font, et Gipar va donc essayer de retrouver le fugitif par son cercle d'amis. Un polar qui va le mener sur les chemins de traverse...
Le dessin est jeté, mais les personnages ont de la chair, de même que les véhicules sont très bien rendus. Eh oui, l'énorme différence entre la sexy « Margot » et « Jacques Gipar », c'est que ce dernier est dessiné sur papier, et cela se voit immédiatement : le dessin est plus chaleureux, dynamique. Par contre, quand on travaille au feutre, et que l'on commence à être court sur les délais, à la différence du dessin vectoriel, cela se voit. Un peu...