Comme annoncé, on a fait une rentrée dans les normes : Au fin fond d'une zone industrielle, dans un célèbre lieu artistique, dans le double container d'un hackerspace. Et elle signe le début de la nouvelle saison de l'émission.

Philippe Martorell au bout de la table, et un pc du service vidéo posé en plein milieu avec interdiction d'y toucher. Timelapse de la première émission capturée par TTh

TTh, qui gère le lieu le soir où on a enregistré (le Double-Dragon, antre du redoutable Tetalab), m'a enregistré en timelapse. Comme des invités étaient en retard, on a en plus branché au-dessus de la porte d'entrée du container Double-Dragon un gigantesque journal lumineux (enseigne à led qui affichent un texte préprogrammé), piloté par un minitel, pour signaler notre position qui était visible depuis le parking.

Sur la gauche, Nicolas ogadaki Decoster de l'association La Compagnie du Code pour le DevFest Pitchouns. Face à moi, de dos, Élise Rigot, productrice de la nouvelle série Bio is the new Black, qui commence dans 15 jours. Photo : Enflammée
Julien Eliès qui est notre invité pour l'émission sur le Cobol. Diffusion programmée dans un mois. Photo : Enflammée
Les joyeux drilles de l'asso Silicium a ressorti de son bunker une sélection de livres autour du Cobol, sujet de la deuxième émission enregistrée. La BD à droite roxe. Normalement, ils préparent un billet sur leur sélection. Photo : René Spérenza.
Pour cette saison, je passe à un dispositif d'enregistrement totalement différent, bien plus léger, et théoriquement avec un meilleur son. Ben ouais, je reste très papier pour mon conducteur : ça ne plante pas et il ne manque pas d'énergie pour le lire au milieu du troisième enregistrement. Moi, par contre,… Photo : Enflammée
On peut mesurer ma fatigue au fait que les oreilles de chat soient de moins en moins bien dressées. Photos : Enflammée
Timelapse de la deuxième émission capturée par TTh qui est resté veiller bien tard si j'en crois les images

C'est foutraque, dingue, tu penses à littéralement autre chose après une journée bien chargée...

Et quand tu vas pour tout ranger, deux personnes toquent au studio improvisé et nous disent Venez, on va répéter notre concert !. La salle est immense, une petite dizaine de fauteuils, la musique et la performance semblent vraiment bien, mais il est 23 heures et on est trop claqués.

J'appelle ça une chouette rentrée radiophonique !