Ou alors, on ne le fait qu'une fois pour le buzz. À la deuxième, c'est loupay. Et là, les acteurs de talent, le budget pharaonique, les techniques de réalisation, les effets-spéciaux pointus, les cadres étudiés, les décors prestigieux... tout ça passe à l'as à cause d'un humour bon marché acheté au rabais à un dialoguiste non-certifié.

Exemple pratique :

Merci à l'excellent Mozinor d'avoir trouvé des extrait sous-titrés (sur cette page) du célébrissime « Dünyayi kurtaran adam » surnommé le Turkish Star Wars. Oui, ce film est réellement sorti au cinéma.

Blague à part, dans le genre détournement visuelauditifs, je vous présente 2ème prise, d'un ancien collègue pairvair repenti.