Notes de direct pour l'émission « Supplément Week-End » du Samedi 11 Juin 2005.

Dans l'univers de la série “Mobile Suit Gundam”, (gnagnagna opposition “Macross Robotech”) Pensionnat de jeunes filles académie militaire de gros robots (gnagnagna) découvrent le vie en orbite et l'apesanteur. (se référer précédent émission, tout ça quoi).

Dans l'école de pilotage robotique de la Fédération des Forces Fédérales Terriennes (mais c'est quoi cette trad ????), Asuna est la petite dernière de la promo, surnommée la "Petite nullarde". Un comble alors que son père a tout fait pour lui donner un entraînement spartiate toute gamine dans ces terribles engins de mort. Finalement, elle va se ressaisir, prendre son courage à deux mais, les deux gros joysticks (bâtons de joie ... ok ...) et s'entraîner sur les simulateurs à en perdre haleine.

Finalement, elle gagnera son billet pour retourner dans l'espace, ou elle se révélera pilote hors-pair grâce à son sens de l'orientation hors-pesanteur... et ses pouvoirs innés de New-Type, les ennemis mortels de l'Humanité...

image © AFP tiens, truc rigolo, avant-hier une boite japonaise a présenté à la presse un exosquelette à l'échelle humaine qui se porte plus qu'il ne s'enfile (source /.). Il détecte les mouvements musculaires pour s'enclencher. Mais vu la faiblesse de la puissance de la traction électrique, le démonstrateur devant les photographes n'a fait que soulever une frêle hôtesse. Mignonne comme elle était, j'aurais tenté ma chance et joué l'enlèvement des sibylles car je doute qu'un prototype aie un quelconque système antivol.

Ah ouais, par contre, c'est chômage direct et double-procès.

Donc, deuxième enseignement de la japanim, le système myoélectrique pour détecter les mouvements à faire, c'est dans la pure lignée des dessins-animés japonais avec des robots : c'est seulement depuis Ghost In The Shell qu'“on” se connecte physiquement à son robot. Le robot de combat des DA Japonais de SF se devait d'être dans les années 80 pilotable aux joysticks, au palonnier, au mouvement de bassin et à la reconnaissance vocale. point barre. Ah oui, pour cette dernière, y'a eu des efforts car dix ans auparavant, elle était un peu sourde : fallait crier AUTOLARGUE très fort.

avec “Ghost in the Shell”, Masamune Shirow, il a tout cassé. Qui a laissé un mangaka lire le “Godel Escher Bach” et le “Black Book” ?