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Et le problème revient souvent avec des agences qui veulent des gens archi-compétents dans tous les domaines, alors qu'ils ont déjà du mal à accepter les vrais tarifs du marché. Si une telle perle rare existe (elle existe, j'en ai même rencontré en plusieurs exemplaires), soyez assurés que leur salaire est d'entrée la somme de tous les postes que vous comptiez économiser.
Ce qui n'interdit pas d'avoir des notions.
En tant que développeur freelance d'applications web, j'ai les notions qu'il faut en ergonomie, en design et aussi en rédaction. Assortis de l'expérience qui de pair. Ce qui me permet de travailler à la fois en bonne intelligence avec les différents métiers intervenant sur les même projets, d'utiliser les mêmes termes dans les mêmes définitions qu'eux, et en même temps d'échanger plus d'idées, d'angle de résolutions,... L'un des avantages les plus flagrants, c'est sur le référencement naturel, ce qui économise le passage d'un de ces charlatans du SEO. Bien souvent, des “experts” qui parlent sans rien comprendre mais facturent très cher leurs prestations massacrantes.
Le problème, c'est que pour certains projets personnels, il m'arrive de bricoler un truc de mon côté, viteuf. Et là, les gens du métier vous appellent. Le plus terrible, c'est qu'ils n'ont aucune pitié. Tiens, prenons un logo bricolé en dilettante :
Vous imaginez à peine ce que le moindre infographiste vidéo, le moindre web-designer, le moindre monteur-réalisateur, le moindre motion designer, le moindre intervaliste d'animation, le moindre color-timer certifié Technicolor™, le moindre sprite-maker en pixel-art peut m'envoyer dans les bronches par téléphone... Amicalement, bien sûr.
C'est là qu'on voit ceux qui viennent du print...
L'opération “Casons les Mini-Pouss 2” continue.
Et merci à Martin Vidberg pour ses planches de dessins prêts-à-remplir.