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Et maintenant, à peu près à l'heure ! continuez à critiquer le site Tchatche BD. (nb : il a de temps à autres des vapeurs!)
astuce tech : en recherche le "%" permet d'afficher toutes les fiches, par albums ou auteurs.
Suite à une forte angine, pas d'émission probablement cette semaine [B,-(
 ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ lundi»vendredi 14:»15: <FMR> 89,1
zérø
quotidien culturel éphémère prochain mill3naire ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
zérø newsletter trente-cinq


lundi pas d'émission
mardi sorties b.d
mercredi émission annulée cause mission avec Bill Baroud
jeudi spéciale fête de la musique : prog & explication
vendredi programmation musicale
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zérø cent deux mardi vingt juin zérø


b.d.
sorties
Éric & Jean-Marc Stalner « Le fer et le feu #3 : Le Comte de Charlant » (Caractère, Glénat)
Quand commence à se montrer les liens entre le Comte de Charlant et les intrigues autour de l'assassinat du Baron de Villemont, on remonte un beau panier de crabes ! Samson découvre les manipulations de feu le maître des forges, et continue de fuir, pour prouver son innocence. Mais à qui ? Chagnon, maître des gens d'armes ne le laissera jamais vivant. Clémence et Mathilde vont finalement se réfugier chez le Comte...
Un excellent roman en costume, avec une bonne intrigue et servi par des décors et des costumes magnifiques. Peut-être les Stalner bros. vont pouvoir se faire adapter leur histoire en film ? Ce serait excellent !
Éric Hérenguel « Krän #2/6 : Le Walou Walou ancestral » (Vents d'Ouest)
Kunu, veillard maigrichon se retrouve sacré roi d'une des (multitudes) tribus de gros balèzes musclés au cerveau mononeuronal. Sa dulcinée n'est autre que Felony, décidée à semer un maximum de morts violentes (intoxiquée au Doom hitscore ?). Alors quand Igor, bouffon tête-à-gnons, déserte pour le clan ennemi (contre la semaine des 35 baffes), la stom-ba gronde.
Cette parodie des sagas heroic-fantasy n'arrive même pas à se démarquer des précédentes du même genre. À vrai dire, ce défouloir est tellement commun dans les gags qu'on oublierait la bibliographie de l'auteur. Pourtant un cycle de « la Ballade du Boût du Monde », la série « Edward John Trelawnay »... ça aurait plutôt tendance à forcer le respect.
Saki Hiwatari « Réincarnations (Please save my Earth) #6 » (Shojo, Tonkam)
Ring décide de rompre ses fiancailles avec Alice. Encore une manipulation du coeur ? probable car il est de plus en plus décider à obtenir "en douceur" les codes de la base lunaire. Alice, elle, n'est toujours pas convaincue d'être une réincarnation, et reste persuadée qu'il ne s'agit que de pure coïncidence.
Une série à succès qui a une dizaine d'année. L'un des premiers travaux professionnels de l'auteur, souvent au dessin maladroit et mal assuré, mais avec une trame intéressante, compliquée et multi-genres.
Kaori Yuki « Angel Sanctuary #1 » (Shojo, Tonkam)
Les anges déchus sont décidés d'en découdre contre le Paradis. Ça, c'est une constante et un créneau souvent porteur (« 666 », « Spawn », « X », « Bastard!! » voir ci-dessous...) mélant habilement ésotérisme et post-apo. Sauf qu'ici, il leur manque leur lieutenant, Alexiel. Ils ont le corps, mais l'âme a été emprisonnée dans un humain. Seul moyen pour eux de le retrouver : créer un jeu vidéo piégé "Angel Sanctuary", permettant de le réveiller et de le retrouver.
Épidémie de claquage de cerveaux en perspective, relations troubles entre le genre humain et des entités quasi-divines et pactes diaboliques. Ça promet pour un début, et c'est bien parti pour concurencer directement dans le genre « X » des Clamp.
Kazushi Hagiwara « Bastard!! #20 : Les lois immorales » (Glénat)
C'est une série un peu fourre-tout : les premiers tomes étaient purement médiéval-fantasy, aux environs du douzième, on tournait dans de la pure s.-f. où le dessinateur rendait un hommage appuyé à Masamune Shirô (« Appleseed », « Ghost in the Shell »,...). On est en plein combat apocalyptique (voir ci-dessus) où les démons mettent une p****n de branlée aux forces divines, donc l'Humanité est vouée aux flammes de la damnation. Excepté que son dernier espoir pourrait bien être ... Dark Schneider.
 Si le château de Metalicana et Motörhead ont disparu depuis longtemps de la série, les références aux groupes de métal reviennent en force, avec le nom des coups ("Cannibal Cops"), les démons sont super-sexy, les filles font du 115B. Heavy !
Kazuki Takahashi « Yu Gi Oh #10 » (Kana, Dargaud)
Le tournoi grandeur nature de Magic&Wizards continue, et coup de théâtre, Maï se joint au groupe (pour une nuit, eh!), tandis que Kaiba se réveille de sa torpeur, furieusement décidé d'en découdre avec Pégasus, le créateur du jeu. À grands coups de cartes, bien sûr !
L'auteur, avant de devenir manga-ka, travaillait dans une boîte spécialisée dans la création de jeux. Cela s'en ressent, je reviens pas dessus... Mais bon, ça se laisse lire, pour ceux qui ne seraient pas rebutés par le graphisme ulltra-stylisé.
Yoshihiro Togashi « Hunter X Hunter #3 » (Kana, Dargaud)
La suite des épreuves pour Gon, ses trois amis et l'ignoble mauvais perdant Tompa dans une tour jouant sur les opinions. Certaines idées sont excellentes, mais hélas trop souvent affadies par le genre même du manga : la baston.
 Reconnaissons-le : « Yuyu Hakusho » était intéressant sur le début mais sombrait trop vite dans l'accumulation d'épreuves/combats. Donc, avant de faire une critique lapidaire sur l'ensemble de la série, je préfère d'abord attendre la suite. Mais c'est un manga idéal pour les pré-ados.
Gosho Aoyama « Détective Conan #22 » (Kana, Dargaud)
Léger creux dans cette série, qui relève en général plutôt de l'exceptionnel. Jugez-en : 6 OAVs, la troisième saison de la série tv a démarré en Avril, et le troisième film est sorti le mois dernier.
Vous me direz, ce sont de bons commerciaux, qui profitent à fond d'une série pour en sortir des tonasses de produits dérivés (jusque dans les gadgets du prof fou). Okay. Mais c'est surtout une trame générale excellente (le whodunit comme savent les cuisiner les mamies anglaises), un graphisme bien foutu, un humour noir ravageur. Bref, un moment excellent.
Au menu de ce tome, justement : une enquête chez des amis de Heiji (le détective-lycéen "adverse" de Shinichi/Conan), un meurtre dans un train qui ressemble à un roman perdu du père Kudo (franchement psychotronique) et un serial-killer (tzim!) à la plage.
d'après Kenichi Sakemi, Sentaro Kubota, Hideki Mori « Stratège #5 » (Tonkam)
Deuxième cycle de l'excellente adaptation du roman « Bokko ». Ke-ri, ayant réussi la mission qu'il s'était fixé (défendre une ville face à une armée largement supérieure) contre les ordres de ses supérieurs, revient à Da-Yu-Ting. Ke-ri est condamné à une peine dérisoire, mais sa captivité est synonyme de mort, ceux qui font alliance avec le puissant royaume T'sin. Il doit vite s'enfuir et trouve refuge dans un lointain village. La guerre croisera vite à nouveau son chemin.
Excellent roman qui n'a rien à envier aux productions européennes, ce manga est extrèmement bien dessiné d'un trait rigoureux dans les décors, donnant une ambiance très prenante. C'est un must absolu.
Osamu Tezuka « Le cratère #2 » (Tsuki, Tonkam)
Inutile de revenir sur l'un des dieux du 9° Art (autant Hergé que Will Eisner), créateur de multitudes de séries immortelles. Il s'agit ici d'un recueil de nouvelles entre fantastique et s.-f., toutes très noires et désespérées avec son trait inimitable, son côté rétro 60s et une écriture qui fait penser aux grands classiques s.-f. (entre Asimov et Van Vogt).
Grandiose et génial. Un auteur à découvrir si ce n'est déjà fait, ses chef d'oeuvres (« Astro », « Le roi Léo », « L'histoire des 3 Adolfs »,...) arrivant vraiment tardivement en Europe.
Masakazu Katsura, studio K2R « I"s #3 » (Tsuki, Tonkam)
Drôles de vacances à la mer : Itsuki guette Seto tentant vainement de lamentables approches pour faire sa déclaration d'amour à Iori. Elle aimerait vraiment que cela échoue car évidemment, elle nourrit toujours un sentiment certain ! Tératani, lui, donne des conseils toujours aussi foireux à
Seto.
Comédie sentimentale amusante, drôle et fraîche, Katsura réussit le virage de faire de la sitcom SANS aucun élément fantastique ou s.-f., même si ses fans n'aiment pas ça (la série est hyper-controversée auprès des fans de « Video Girl »). Moi je m'en fous : je me poile [P-) !
Minami Ozaki « Zetsuai 1989 #1 » (Yahoi collection, Tonkam)
Koji est une pop-star montée de toute pièces par la volonté d'une maison de disque. Son charmant minois et ses 16 ans fait fléchir quantité de genoux féminins. Mais il a un défaut : il est très capricieux. Alors quand il disparaît 3 jours, tout le monde s'inquiète. En fait, il est parti chercher une fille qu'il était amoureux "par procuration" il y a six ans. Sauf que c'est un garçon, et que vite, de troubles sentiments l'envahit !
Le genre Yaoi-manga est TRÈS particulier : une dessinatrice s'adresse à un public de femmes pour parler d'une histoire d'amour homosexuelle masculine ! Voyeur ? Malsain ? Hé bien, pas du tout ! En fait, j'ai carrément était surpris (une fois à-prioris passés) à lire cet album d'une traite ! Et c'est nullement dû à la vague d'homophilie subite suite à la Gay Pride de Samedi 17.
Par contre, je doute sincèrement que le public (et la critique) français soit prêt à lire ça.



zérø cent trois jeudi vingt-deux juin zérø


(report de la spéciale fête de la musique)
Sélection (et explications de texte), 1h30 de fraîcheur musicale aux portes de l'été.

Mukta « Portrait » (« Indian cythar & World jazz », 2Kdix / wea)
Quelques musiciens en vadrouille depuis plusieurs années en Inde se croisent et découvrent qu'ils viennent tous de Bretagne. De retour au pays, il montent un combo dont le mot d'ordre est « jazz oui mais avec des instruments d'orient », une idée de world music au sens large et à kiffer pleines oreilles. Le résultat : une atmosphère envoûtante et surprenante, un double album rafraîchissant avec des versions remixes titillantes.
Kid Koala « Fender bender » (« Carpal tunnel syndrome », Ninja tune)
Sur ce label électronique éclectique, je tombe toujours bien. La preuve : ce jeune DJ canadien qui fait sur cet album de superbe démonstrations de scratches (un peu techniques), mais aussi des compositions agréables. Bourré d'humour (on a pu l'entendre il y a 3 mois dans nos studios en se tordant de rire), il a inclu dans le livret de son album, un petit comix qui raconte ses tribulations au pays de la disco, comment il est tombée dans l'académie secrète ninja, sa grand-mère karatéka et son grand amour. Très original, tordant, et ... à tomber !
LFO « LFO » (compilation « 10+2 WARP classics », WARP)
Un des groupes piliers de la techno porte le nom d'un composant de base des synthés mythiques : le Low Frequency Oscillator. Le morceau homonyme a été "détourné" par Rave Age en 1992. Thierry Ung et ses accolytes (toujours en activité sur <FMR>) avaient remplacé le refrain par «F - M - R », ce que sera leur identifiant pendant 4 ans. Les 3 compilations (6 CDs) des 10 ans du label Warp sont pas évident d'accès mais sont strictement  incontournable de la culture électronique actuelle. Autant que la compilation Mo'Wax en 1996.
Les Malpolis « Ma ville (est la plus belle des villes) » (live Mai 2000, Willing production)
Quand de turbulants chanteurs à textes s'en prennent aux copains, c'est parfois "sanglant": à la fin de cette chanson, Claude Sicre (le Fabulous Trobador) se lève de l'assistance et quitte la salle. Un peu normal quand on se fout de la gueule des camarades "tombeurs de chemise" (Zebda,
100% Collègues, ...) qui prennent l'accent toulousaing pour attendrir la critique parigotte. Laquelle encense ces « petits nègres de province ». Il y a quinze ans, les majors cherchaient les hits à Lyon (L'affaire Louis Trio), il y a dix ans à Bordeaux (Noir désir), il y a cinq ans à Marseille (IAM, Massilia Sound System)...  Et maintenant ? Toulouse, Toulouse, ô la ville posse !
L'album des Malpolis sortira à la rentrée (distribution Scalen).
Joseph Racaille « Je pars loin de toi » (« Signé : Racaille », Tôt ou tard/Warner)
Trois albums coup sur coup à prix modéré (60F), voilà un allumé qui fait aussi dans la chanson assassine. Cet album fusille à vue une sélection de tubes (« Barbie Girl » de Aqua reprise couillue, « Kung Fu Fighting » easy listening). Ici, c'est Andrea Bocelli qui s'en prend plein la gueule avec une traduction très peu orthodoxe de « Con te partiro ». L'occasion d'expliquer ce que les commerciaux des maisons de disques appellent cross-over : faire vendre du pseudo-classique en misant sur un interprète comme André Rieu, Richard Clederman ou Metallica vs Orchestre Philarmonique de San Francisco. (Ah, le dernier est peut-être trop exagéré ?!?)
Tom Jones & Zucchero « She drives me crazy » (« Reload », Gut records/V2)
Hormis l'ignoble remix garage de « Sex Bomb », l'album est fabuleux, des duos rêvés (James Taylor Quartet, Portishead, Stereophonics, Divine Comedy...) pour des reprises à tomber. Ici, Zucchero s'en donne à coeur joie dans cette incroyable reprise du tube de Fine Young Cannibals. Tom Jones lui-même semble être un sacré marrant, de son premier tube « What's new Pussycat » jusqu'à l'interprétation de son propre rôle de chanteur british glamour échoué à Las Vegas dans le « Mars Attacks » de Tim Burton (qui a mis de ces chansons dans plein d'autres films) ; avec l'hallucinante scène finale des marmottes sortant de leur terrier, s'offrant un petit tour de danse avant d'aller mettre du chocolat dans le papier d'alu.
Achetez-le les yeux fermés !
Chef (Isaac Hayes) & Meat Loaf « Tonight is right for love » (« Chef aid : the South Park album », American/Sony)
Chef (doublé par Isaac Hayes dans la v.o.), le cuistot black dragueur de l'école primaire perd un procès, doit plusieurs milliers de $$$. Pour s'en sortir, les charmants chérubins de South Park montent un festival avec les plus grandes stars. En guests de l'épisode « Chef Aid » :  Rancid, Master P, Elton John, Primus, ODB,... et des duos avec Cartman, Ned Gerblansky, Stan, Kyle, Kenny,...
Ici Chef chante une chanson d'amour, pertubée par l'apparition rock'n'roll de Meat Loaf qui pour « prouver à sa dulcinée [ses] sentiments, ira jusqu'à [lui] planter des échardes dans les yeux ». Chef lui fait remarquer que c'est une chanson d'amour, par une b.o. de film d'horreur et propose qu'il se calme en mangeant un tacos.
Orchester Fred Rabold « Sunrise in Florida » (« Spirit of America », Fred Rabold Musikproduktion)
Avant de partir en week-end, je cherchais un truc kitch mais pas beauf, inconnu de mes potes. Patrick Chabouté, le Docteur Rock de <FMR> et Flapi de Radio Balade me rencarde sur ce Fred Rabold. Une incongruité kitch bavaroise qui aurait très bien pu faire la bande son de « la Croisière s'amuse » ! Mais dès la première écoute, c'est la crise de fou-rire, et l'envie de se faire les 6 autres albums, à écouter en boucle au travail (non, je ne dirais pas qui), et entrer en play-list. Si même les jeunes écoutent les tubes du club "Le Ramier", que reste-t-il aux vieux ?
Fred Rabold est parti orchestrer d'autres arrangements au Paradis. Une copine a appris son décès sur ... Le Mouv'!!! Quant on vous dit qu'ils nous espionnent.
The egg « Ben Hur » (« Travelator », China records/Warner)
Mélangez électro perfectionniste et instrus acoustiques, cela donne un album qui respire la joie de produire, un pur moment de bonheur avec un son impeccable et tordant. Surtout dans ce morceau où d'un coup, les samples de la boîte à rythmes sont remplacés par des brutages de dessins-animés et la nappe de basse par un cri de mouette. Allumant, secouant, impossible de rester assis sur une bonne humeur pareille. Qui a dit que l'électro était une musique "froide" ?
Titan « 1, 2, 3 , 4 » (« Elevator », Tombola / Emi)
Tombé dans l'oreille des Beastie Boys, ces mexicains sont de véritables ovnis dans l'univers (très large) des musiques électroniques : mélangeant hip-hop, tech-house et folklore mexicain de pacotille, le son est surprenant, pas toujours convainquant à la première écoute mais indéniable de
fraîcheur. Même épicé comme une tequilla pimentée, le son a kekchose derrière. Y'a de la patate ? Y'en a... Y'a de la betterave ? Y'en a aussi...
Kapsaïcine « On the road » (démo autoprod.)
Des groupes de trip-hop, rien qu'en ville, y'en a des dizaines : prenez une fille à la voix aguicheuse (style Archive) ou cassée (genre Portishead), son petit copain avec 2 briques de matos informatique, des ProBase, SoundTools ou CuForge, une banque de samples à Recycle®...
Sauf que là, le son a quelque chose, la voix a un grain. Parce que Spek fait aussi du hardcore et écoute énormément de genres ? Parce que Kako est une MC jungle qui assure (et fait la voix du jingle <FMR> en ouverture d'antenne à 14h) et se démène pour organiser des soirées ("KittyStyle" cosplay parties) ?
Y'a un truc, c'est clair, et ça pourrait bien aller loin, ce groupe-là ! NB: cette chanson est retenue en générique d'un documentaire Arte, prévu pour une diffusion cinéma.
Mix E.Z.Rollers (compilation « 99.1 », Moving shadow)
Une idée excellente : sortir un double CD de mix deux fois par an à prix vraiment modique (£1,99, 20 FF !, si vous passez à Londres, foncez!) pour promotionner le label, avec des pubs sur une partie CD-rom pour financer l'opération (annonçant le jeu GTA2 dont la bande-son est signée... Moving Shadow). C'est pas en France que l'on verrait ça de sitôt et c'est bien dommage ! Car ce label jungle vétéran produit depuis près d'une décennie un incroyable mélange festif drum'n'bass / jazzy, où l'électronique se mèle avec un bonheur indescriptible aux instrus (cuivres, batterie, guitare acoustique, basse).
Extrait de cette collection, 25' par le "chef" E.Z.Rollers, à Munich en décembre 1998, avec pas mal de dubplates, qui se laissent monter, apprécier. De quoi vraiment apprécier les nuits d'été.
Manquent Denki Groove, Alex Reece, LT-NO, Smith & Mighty, Luke Vibert, Unkle, Pizzicato Five, Grooverider, Amon Tobin, les b.o. japonaises de « Serial Experiments Lain », « Cowboy Bebop », les labels Mo'Wax, Fuel, Renegade, Rephlex, Matador, Skint, Source, Pias, (plus proches d'<FMR>) Syndicat électronique, Cocktail 2000 et Angström  avec la fabuleuse compil « Massage Auditif #1 »... mais là, ça faisait facile 14h-minuit !
Merci à Kapscaïcine, aux Malpolis et aux correcteurs : Hervé Gélis (Willing prod) et Du Sport . Big Up à Docteur Rock, Flapi, Dragon Krew, Électrons Libres, D2B, Radio Campus Toulouse  et les disquaires indépendants.


zérø agenda trente-cinq


maille : Tonkam, le libraire-éditeur manga ouvre son site internet.
maille : Le Lombard déménage le sien.
(partie soirée obsolète, [B-( désolé )


zérø bande-son trente-cinq


(Et à part ce que j'ai mis Jeudi dernier)
Gus-Gus « Polydistortion » (4AD, Labels) Le concert au Bikini avait été grâve !
Tipper « The critical path » (Fuel, Sony)
Jacknife Lee « Cookies » (Pussyfoot)
b.o.f. « Serial experiments Lain  » (Pioneer) #1 : versions acoustiques #2 : versions électroniques
Seatbelts b.o.f. « Cowboy Bebop »  (Pioneer)


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